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Geoffrey Hinton, c’est lui la tête pensante de ChatGPT. Il regrette son invention et quitte Google.
Plusieurs médias en parlent
Sur FranceInfo, un podcast de trois minutes lui est consacré avec pour titre:
« Il est temps de s’inquiéter » : Geoffrey Hinton, l’ingénieur dont les travaux ont permis de créer ChatGPT, alerte sur les dangers de l’intelligence artificielle
Et en résumé: » À 75 ans, celui qui est surnommé le parrain de l’intelligence artificielle vient de démissionner du poste qu’il occupait depuis 10 ans chez Google pour pourvoir « parler librement des dangers de l’IA ». Il appelle les géants de la tech à faire une pause dans l’apprentissage des logiciels. »
Le Monde en parle aussi et écrit en manchette :
« Geoffrey Hinton, pionnier de l’IA, quitte Google et dit « regretter » son invention.
LE HUFFPOST semble dès le départ insisté sur une position prise auparavant et titre ce qui suit:
« Même Geoffrey Hinton, à l’origine de la technologie servant à ChatGPT regrette son invention »
Geoffrey Hinton, considéré comme le « parrain » de l’IA, a quitté Google pour pouvoir confier ses inquiétudes concernant cette technologie. Il est le « parrain » de l’IA et il a quitté Google pour pouvoir parler librement de ses craintes. Geoffrey Hinton s’est exprimé auprès du New York Times dans une interview publiée ce lundi 1er mai. Il y évoque les risques potentiels de l’intelligence artificielle et ses regrets quant à son rôle dans sa conception.
Le Point n’est pas à l’écart de cette actualité. Il titre comme ceci:
« Les 5 dangers de l’IA selon Geoffrey Hinton, un de ses pionniers »
Geoffrey Hinton, pionnier de l’intelligence artificielle, a démissionné ce lundi 1er mai de Google après 10 ans au service du géant américain. Dans une interview accordée au New York Times, il révèle être parti pour parler librement de l’IA générative comme ChatGPT, sans que cela n’impacte l’entreprise. Il exprime ses regrets concernant son implication dans le développement de cette dernière et se console tant bien que mal « avec cette excuse commune : si je ne l’avais pas fait, quelqu’un d’autre l’aurait fait ».
Tous ces journaux se sont inspirés de l’interview que l’intéressé a accordé au New York Times et qui a pour titre:
« Le parrain de l’IA » quitte Google et met en garde contre le danger qui l’attend